L’histoire de l’art et la compréhension de l’art contemporain est pourtant quelque chose de sérieux. J’ai appris à aimer l’art contemporain grâce aux cours d’histoire de l’art à l’université. On se pose beaucoup moins la question pour la musique par exemple parce qu’on y est beaucoup plus exposé. C’est une question d’habitude en fait, et de connaissances aussi.
J’ai fais 7 ans d’étude en Art (art appliqué et beaux art) et j’ai du mal avec l’art conceptuel de l’Art contemporain. Ya un certain plaisir qui découle dans le non-pictural mais plutot l’assemblage de mots, le processus.
Et je suis beaucoup plus sensible à la maitrise des outils, à l’artisanat qui fait partie de l’Art. La finesse du trait, les nuance de couleur et ça me reveille des émotion fortes. C’est une fenetre sur le monde.
En revanche, une chaise avec un écritaux, des bout de bois et cartons patchworké…j’ai du mal à accorder le moindre sérieux à l’artiste. Et encore aux BA, je me rapelle des porte en papier de riz qu’on défonçait en courant, ou d’une machine qui faisait des lignes au fusain en fonction du nombre de visiteurs, des artiste qui travaillait dans leur vomis, des poèmes discordant. Le tout avec des analyses expliquant le pourquoi et le comment de ces horreurs. J’ai été profondément marqué.
C’est encore pire quand tu voyais ume dessinatrice talentueuse qui faisait les miniature comme chevailler. Elle a pas vraiment été soutenu pour ça. En revanche le jour où elle a signé sur un papier aigle un poème on l’a félicité. Son oeuvre etait merdique, rien à voir par rapport à ce qu’elle était capable de faire, en revanche l’intention, le processus.
De plus les profs n’enseignaient pas les mélange des couleurs, les nuanciers, ça, c’était sur le tas en autodidacte…des references, de l’histoire, c’est bien et les outils : perspective, ombre-lumière, couleur ? Ça c’est l’école Olivier de Serre qui me l’a enseigné.
C’est triste pcq j’ai eu deq prof des BA en auditeur libre et ceux-ci nous disait qu’on avait de la chance d’etre ici car ce qu’iels enseignaient était conceptuel.
Donc j’ai finalement un avis assez mitigé sur l’Art contemporain. Ya des branches que j’aime bien, d’autre moins. Keramsi et Djamel Tatah par exemple.
L’année dernière, où il y a deux ans, je suis tombé sur une doctorante de l’école du Louvre qui guidait des gens sur des installations dans le jardin, et je l’ai écouté un peu sidéré faire une analyse quasi-métaphysique d’un caillou. Littéralement rien d’autre, une pierre d’environ 40 cm de largeur posée dans un jardin avec aucun travail sur la pierre. Quinze grosses minutes de masturbation intellectuelle sur l’intention de l’artiste. Je suis assez ouvert aux verbals même un peu tiré par les cheveux, mais là, c’était quand même navrant.
Et quelques secondes après son départ, un touriste ayant reconnu le message profond et quasi mystique de cette œuvre majeure, s’est assis dessus pour bouffer son sandwich. :D
C’est bien sur une blague, j’apelle ça de la branlette intellectuelle
L’histoire de l’art et la compréhension de l’art contemporain est pourtant quelque chose de sérieux. J’ai appris à aimer l’art contemporain grâce aux cours d’histoire de l’art à l’université. On se pose beaucoup moins la question pour la musique par exemple parce qu’on y est beaucoup plus exposé. C’est une question d’habitude en fait, et de connaissances aussi.
J’ai fais 7 ans d’étude en Art (art appliqué et beaux art) et j’ai du mal avec l’art conceptuel de l’Art contemporain. Ya un certain plaisir qui découle dans le non-pictural mais plutot l’assemblage de mots, le processus.
Et je suis beaucoup plus sensible à la maitrise des outils, à l’artisanat qui fait partie de l’Art. La finesse du trait, les nuance de couleur et ça me reveille des émotion fortes. C’est une fenetre sur le monde.
En revanche, une chaise avec un écritaux, des bout de bois et cartons patchworké…j’ai du mal à accorder le moindre sérieux à l’artiste. Et encore aux BA, je me rapelle des porte en papier de riz qu’on défonçait en courant, ou d’une machine qui faisait des lignes au fusain en fonction du nombre de visiteurs, des artiste qui travaillait dans leur vomis, des poèmes discordant. Le tout avec des analyses expliquant le pourquoi et le comment de ces horreurs. J’ai été profondément marqué.
C’est encore pire quand tu voyais ume dessinatrice talentueuse qui faisait les miniature comme chevailler. Elle a pas vraiment été soutenu pour ça. En revanche le jour où elle a signé sur un papier aigle un poème on l’a félicité. Son oeuvre etait merdique, rien à voir par rapport à ce qu’elle était capable de faire, en revanche l’intention, le processus.
De plus les profs n’enseignaient pas les mélange des couleurs, les nuanciers, ça, c’était sur le tas en autodidacte…des references, de l’histoire, c’est bien et les outils : perspective, ombre-lumière, couleur ? Ça c’est l’école Olivier de Serre qui me l’a enseigné.
C’est triste pcq j’ai eu deq prof des BA en auditeur libre et ceux-ci nous disait qu’on avait de la chance d’etre ici car ce qu’iels enseignaient était conceptuel.
Donc j’ai finalement un avis assez mitigé sur l’Art contemporain. Ya des branches que j’aime bien, d’autre moins. Keramsi et Djamel Tatah par exemple.
L’année dernière, où il y a deux ans, je suis tombé sur une doctorante de l’école du Louvre qui guidait des gens sur des installations dans le jardin, et je l’ai écouté un peu sidéré faire une analyse quasi-métaphysique d’un caillou. Littéralement rien d’autre, une pierre d’environ 40 cm de largeur posée dans un jardin avec aucun travail sur la pierre. Quinze grosses minutes de masturbation intellectuelle sur l’intention de l’artiste. Je suis assez ouvert aux verbals même un peu tiré par les cheveux, mais là, c’était quand même navrant.
Et quelques secondes après son départ, un touriste ayant reconnu le message profond et quasi mystique de cette œuvre majeure, s’est assis dessus pour bouffer son sandwich. :D