Première fois depuis longtemps que je suis presque à l’heure.
Mon service précédent on m’a arnaqué et par manque de temps je n’ai pas pu vérifier, puis quand j’ai vérifié, c’est une invention écrite nulle part mais qui se pratique apparemment partout dans la branche : pour que mon repos soit de 8 heures après le retard important de l’aller, ils ont compté le moment où je suis descendu de la locomotive comme étant la fin de mon service, et pour la reprise, ils ont compté le moment où je suis remonté dedans. Je dois prendre une voiture de service pour aller et revenir de l’hôtel mais quand ça ne leur convient pas ce n’est plus du temps de travail. Jusqu’à présent ce temps a toujours été compté normalement (quand c’est majoré parce qu’en heures de nuit par exemple, le compte est exact en les considérant) donc j’aurais dû flairer l’entourloupe, et on ne m’y reprendra plus.
Si ils veulent me sanctionner ou me licencier pour ça, ils ont plus à perdre que moi, je peux juste partir chez un concurrent en un claquement de doigt, étant libéré de la clause de dédit-formation.
Vu que les autres font pareil, je ne sais pas si c’est très utile, mais la question me semble pertinente par le CSE : si ce temps est payé, comment peut-il être unilatéralement décidé à posteriori qu’il ne compte pas comme temps de travail ?
Première fois depuis longtemps que je suis presque à l’heure.
Mon service précédent on m’a arnaqué et par manque de temps je n’ai pas pu vérifier, puis quand j’ai vérifié, c’est une invention écrite nulle part mais qui se pratique apparemment partout dans la branche : pour que mon repos soit de 8 heures après le retard important de l’aller, ils ont compté le moment où je suis descendu de la locomotive comme étant la fin de mon service, et pour la reprise, ils ont compté le moment où je suis remonté dedans. Je dois prendre une voiture de service pour aller et revenir de l’hôtel mais quand ça ne leur convient pas ce n’est plus du temps de travail. Jusqu’à présent ce temps a toujours été compté normalement (quand c’est majoré parce qu’en heures de nuit par exemple, le compte est exact en les considérant) donc j’aurais dû flairer l’entourloupe, et on ne m’y reprendra plus.
Si ils veulent me sanctionner ou me licencier pour ça, ils ont plus à perdre que moi, je peux juste partir chez un concurrent en un claquement de doigt, étant libéré de la clause de dédit-formation.
Vu que les autres font pareil, je ne sais pas si c’est très utile, mais la question me semble pertinente par le CSE : si ce temps est payé, comment peut-il être unilatéralement décidé à posteriori qu’il ne compte pas comme temps de travail ?