Dernière réponse de la banque : « Je peux évidement comprendre votre refus de payer des intérêts sur cette période.
Le problème est que je ne peux pas lancer de demande de remboursement anticipé tant que les fonds ne sont pas sur le compte.
Je n’aurais pas pu initier la demande en date du 15 Juillet.
Dès réception des fonds je lance la demande. »
La mienne :
Si vos systèmes sont défaillants au point de ne pas permettre de ne pas me prélever des sommes indues, je peux vous concéder de payer seulement le PTZ comme le prévoit la loi, et de conserver le prêt […] avec les échéances habituelles de […] tous les 15 du mois, auquel cas vous pouvez le requalifier comme prêt personnel.
J’ai essayé d’être diligent et patient, mais vous ne respectez pas vos obligations légales. J’ai les fonds depuis le 12 juillet mais j’ai reçu seulement depuis le 25 des documents me donnant un décompte antidaté, alors que ma première demande est du 12 juin !
Si j’acceptais de vous laisser prélever une somme trop élevée, combien de courriers et d’appels pour pouvoir clôturer le compte ou vous faire abandonner les tentatives de me facturer des frais indus ?
J’ai déjà perdu assez de temps à gérer ce qui aurait dû être l’affaire de dix minutes.
Dernière réponse de la banque : « Je peux évidement comprendre votre refus de payer des intérêts sur cette période. Le problème est que je ne peux pas lancer de demande de remboursement anticipé tant que les fonds ne sont pas sur le compte. Je n’aurais pas pu initier la demande en date du 15 Juillet. Dès réception des fonds je lance la demande. »
La mienne :
Ils me gavent.
Quelle histoire